
Eric Ciotti Taille – Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a répondu avec humour aux questions d’Eric Ciotti du parti Les Républicains lors de l’heure des questions à l’Assemblée nationale. “Si vous ne voulez pas que je réponde, monsieur Ciotti, je vais m’asseoir ici et me taire”, a-t-il dit, avant d’ajouter : “Mais je fais la même taille que je sois assis ou debout.” Un clin d’œil aux électeurs du député. Une réplique exacte qui fait rire tout le monde dans l’hémisphère.
Bernard Cazeneuve désamorce avec humour le débat parlementaire tendu sur la politique d’immigration. Répondant à la question d’Eric Ciotti, le ministre de l’intérieur a semblé légèrement agité par les interruptions répétées du législateur des Alpes-Maritimes, et a donc décidé de riposter en faisant une double blague sur la petite taille des deux hommes.
Bernard Cazeneuve dit : « Si vous ne voulez pas que je réponde, monsieur Ciotti, je vais m’asseoir », puis il dit : « Mais moi, que je sois assis ou debout, je suis toujours le même taille.” Toute l’assemblée, y compris le législateur visé, a éclaté de rire, incitant le ministre à dire : « C’est ce qui me rapproche de monsieur Ciotti ».
Quelques secondes plus tôt, Bernard Cazeneuve avait également fait une allusion voilée aux tics nerveux de Nicolas Sarkozy. Le ministre avait dit, en réponse à Eric Ciotti, “je n’ai pas de tension mais en échange une consternation incommensurable”. Il feint l’ancien président des Etats-Unis en se frottant les épaules et en disant : “La tension se manifeste par des mouvements saccadés…”
Ce n’est pas la première fois que Bernard Cazeneuve use d’humour autodérision sur sa taille, ni la première fois qu’il irrite Nicolas Sarkozy. Le ministre, comme le rappelle le Lab d’Europe 1, disait ceci à propos de Nicolas Sarkozy en mars dernier : “J’ai un seul point commun avec Nicolas Sarkozy.
Bernard Cazeneuve a usé d’autodérision lors d’une séance de questions-réponses à l’Assemblée nationale pour se plaindre d’Eric Ciotti et mettre fin aux incessantes interruptions de ce dernier. Le ministre de l’Intérieur a crié à l’attention du député Les Républicains : « Si vous ne voulez pas que je réponde, monsieur Ciotti, je m’assois. “Et moi, assis ou debout, j’ai la même taille de toute façon. C’est un plus, c’est ce qui me rapproche de monsieur Ciotti”. La majorité des hommes politiques présents, dont Eric Ciotti, ont répondu par le rire à l’énergie de Bernard Cazeneuve.
Le match entre le député des Alpes-Maritimes Éric Ciotti et le chef du Sénat LR Bruno Retailleau pour la présidence du Parti Les Républicains viendra à son point culminant ce dimanche à 18 heures. Si le prochain président venait à l’emporter d’une faible marge, cela mettrait en lumière les divisions internes du parti et rendrait plus difficile l’élection de Laurent Wauquiez en 2027.
Le pire scénario pour Les Républicains est un second tour entre Éric Ciotti et Bruno Retailleau, et ils découvriront dimanche vers 18 heures qui est leur nouveau président. LR prévoit une commémoration de la catastrophe de 2012 quelques heures après l’annonce des résultats de la conférence. C’est l’apocalypse politique entre les deux camps, qui s’accusent mutuellement de tricherie, après que Jean-François Copé a battu de justesse François Fillon dans une élection largement considérée comme un simulacre. Et la droite avait passé des années à essayer de se racheter.
Selon un proche d’Eric Ciotti, « quelle que soit l’issue, plus la victoire est nette, plus la droite est forte », tandis que les partisans de Bruno Retailleau, dans le moule de l’ex-député Julien Aubert, prédisent « un résultat incroyablement serré ». L’enjeu est de taille pour les 91 109 membres LR qui sont invités à voter depuis samedi soir : un résultat électoral confus indiquerait un parti déchiré par le milieu selon des lignes idéologiques et stratégiques. Et aussi d’une baisse feinte du leadership naturel de Laurent Wauquiez.
La bataille entre Eric Ciotti et Bruno Retailleau fait penser au sabre et au goupillon. Éric Ciotti, un député des Alpes-Maritimes, est arrivé en tête au premier tour avec 42,73 % des voix, faisant de lui le favori incontesté. Ciotti est un champion de la droite sudiste, fort sur les questions de sécurité mais économiquement libéral.
Cette semaine, il a doublé ses coups dans le but de réduire l’écart avec son adversaire. Bruno Retailleau, sénateur vénitien arrivé en deuxième position avec 34,46% des suffrages, représente une droite conservatrice un brin souverainiste. Il s’oppose, entre autres, à la constitutionnalisation de l’IVG.
Eric Ciotti, député des Alpes-Maritimes et partisan de la “droite ferme”, a été élu dimanche président des Républicains, devenant le nouveau patron d’un parti en profonde crise suite à la débâcle présidentielle. Eric Ciotti, député des Alpes-Maritimes, a été élu dimanche président des Républicains. Il représente une position “juste” et est aujourd’hui le chef d’un parti en profonde crise.
Eric Ciotti, député des Alpes-Maritimes et partisan de la “droite ferme”, a été élu dimanche président des Républicains, devenant le nouveau patron d’un parti profondément troublé suite à la débâcle présidentielle. Lors d’une élection interne à forte participation, il a obtenu 53,7% des voix, battant de justesse le président LR du Sénat Bruno Retailleau (46,3%) au second tour.
Le nouveau chef du Parti gaulliste, dès sa prise de fonction, s’est engagé à fédérer ses partisans autour des principes « du travail, de l’autorité, de l’identité, qui nous permette de vivre comme nous avons toujours vécu ». droit qui est aussi solide qu’un roc.” Tout en arguant que “notre pays est frappé par le déclin” ou “une sorte de dépérissement”, il a assuré aux téléspectateurs de TF1 qu’il avait raison et qu’il ne s’excuserait jamais pour cela.

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